Elizabeth J., Nigéria

J’ai traversé un enfer Paralysé et impuissant

Pendant 18 ans, Elizabeth J. avait souffert de douleurs atroces à l’abdomen. La douleur était si intense qu’elle restait alitée pendant des jours – parfois des semaines à la fois. En 1998, elle fut hospitalisée pendant deux semaines sans pouvoir manger quoi que ce soit. Sa famille était certaine qu’elle allait mourir. En désespoir de cause, Elizabeth et son mari dépensèrent tout leur argent pour des consultations avec des prêtres vaudou, des médecins et des hôpitaux.

Un jour, à l’hôpital encore une fois, ils entendirent les sons de la campagne CfaN à proximité où l’évangéliste Reinhard Bonnke prêchait. Ils décidèrent d’aller voir ce qui se passait. Elizabeth le raconte dans ses propres mots …

« En arrivant là-bas, le prédicateur disait : ‘Jésus vous aime et Il est mort pour vos péchés’. Je me dis : ‘Waouh !’ Et quelque chose me toucha à l’intérieur. Je dis : ‘Vais-je être pardonnée de mon parcours jusqu’à maintenant et de tous les péchés que j’ai commis ?’ »

Elizabeth était captivée par le message et en l’écoutant, elle savait ce qu’elle devait faire.

« J’ai ressenti que ce message m’était spécialement destiné et j’ai levé mes mains en disant : ‘Dieu’ ? Puis, je me suis agenouillée et j’ai dit :‘Jésus, me voici. Je suis ici. Sauve-moi, sauve-moi !’ Puis le prédicateur demanda à ceux qui voulaient naitre de nouveau de s’avancer devant la plateforme. J’étais la première là-bas. J’ai couru, j’ai couru pour m’emparer de mon salut. J’ai couru ! ».

Lors de la seconde soirée de la campagne, Elizabeth se sentit poussée à aller de nouveau vers la plateforme. Cette fois-ci, elle se réjouit, dansa et re-dansa devant le Seigneur, le louant pour le salut qu’elle venait de trouver.

« Tu m’as accepté, Dieu ! » s’écria-t-elle. « Aujourd’hui je te demande de me guérir ». Mais alors que la prédication commença, une douleur terrible s’empara d’elle de façon vicieuse.

« La douleur commença faiblement puis prit de l’envergure petit à petit. Mais à mesure qu’elle augmentait, j’ai hurlé : ‘Diable, tu es un menteur ! Tu es en retard parce que j’appartiens à Christ maintenant !’. Puis le prédicateur dit de poser nos mains là où nous avions des douleurs. Et loué soit Dieu ! La douleur s’arrêta immédiatement et à ce moment-là, j’ai eu ma guérison ».