Des témoignages puissants

Le chiffre qui compte est toujours le ‘UN’

Parce que nous nous concentrons sur l’évangélisation de masse, ici à Christ pour toutes les Nations, les chiffres peuvent être parfois presque écrasants : plus de 80 millions de décisions pour Jésus depuis le début du ministère ! C’est vraiment un fait pour lequel nous pouvons célébrer et louer le Seigneur.

Mais vous savez quoi ? Nous ne perdons jamais de vue le fait que Dieu n’est pas dans les chiffres faramineux. Ou plutôt, le chiffre qui compte est toujours le ‘UN’. Il quitte les quatre-vingt-dix-neuf autres brebis pour aller à la recherche de la seule brebis perdue. Il rencontre chacun d’entre nous sur une base individuelle, complètement personnelle.

Aujourd’hui, j’aimerais partager avec vous quelques témoignages merveilleux et personnels. Pour chacune de ces personnes précieuses, Jésus est intervenu dans leur vie, les a rencontrées au milieu de leur souffrance. Dieu les a vues, a entendu leurs cris et Il a changé leurs vies. Je crois que votre propre foi sera édifiée et fortifiée en lisant ces histoires documentées de la puissance de guérison de Dieu – et de Sa miséricorde et de Son amour pour chacun de nous.   

Si vous préférez lire ces témoignages, cliquez sur le bouton. Ou regardez les vidéos ci-dessous.

Jovita B., Ouganda

Les hôpitaux et les docteurs sorciers ne pouvaient pas m’aider

En 1979, alors âgée de 16 ans, Jovita devint complètement et profondément sourde. Pendant les 36 années suivantes, elle n’entendait absolument rien. Elle dit : « Je suis allée voir les médecins et les hôpitaux mais ils ne pouvaient que confirmer ma surdité sans pouvoir en définir les causes. Je savais que c’était une erreur de le faire, mais les douleurs et la perte auditive me poussèrent à aller voir les docteurs-sorciers. Ils dirent que c’était un certain genre de démon qui causait ma surdité ».

Ni les docteurs-sorciers, ni les hôpitaux ne pouvaient l’aider. Elle continue : « À la pensée d’être sourde pour le restant de ma vie, je m’écriais : ‘Oh Seigneur, s’Il te plaît, retire-moi de ce monde’. C’était le seul recours auquel je pouvais penser ».

Puis Jovita fut conduite à assister à la campagne CfaN qui avait lieu à Mbarara, en Ouganda. « Alors que le prédicateur commençait à prier, soudain, je me mis à entendre des sons. Puis j’ai entendu des voix, quelque chose que je n’avais pas entendu depuis 36 ans ! Mes oreilles étaient en train de s’ouvrir et ma joie prenait de l’ampleur. Plus les sons devenaient forts, plus ma joie était grande. Après 36 ans de surdité, je peux entendre maintenant. C’est un miracle ! C’est mon miracle ».

Elizabeth M., Cameroun

Beaucoup m’abandonnèrent, mais pas Dieu

« Tous les matins, c’était le même scénario. Je me réveillais et je prenais plus de 10 médicaments différents contre la douleur. Puis mon ami m’aidait à tirer sur des coussinets de pressions pour m’aider à marcher et à supporter la douleur. Les médecins ne savaient pas vraiment ce qui n’allait pas avec mes genoux. Ils avaient abandonné mon cas et me dirent que je devais vivre avec cette maladie. Après tant d’années, j’avais acquis une forte tolérance et les médicaments ne me faisaient plus d’effet ».

Les aspirations d’Elizabeth étaient si simples. Immobilisée par la douleur constante, tout ce qu’elle désirait, c’étaient « les petites choses » : pouvoir cuisiner et faire le ménage, se baisser et balayer son propre sol. Elle sentait la pitié des gens quand ils la voyaient et elle était gênée de ne pas pouvoir prendre soin d’elle-même.

Puis arriva le jour où elle se rendit douloureusement et lentement à la campagne CfaN à Douala, au Cameroun. « Lorsque l’évangéliste priait, je sentis quelque chose traverser mon corps de la tête aux pieds, quelque chose que je n’avais jamais ressenti auparavant. Je sus que Dieu faisait un miracle dans ma vie. Je le savais ! Juste à ce moment-là, il nous dit de nous tester, de vérifier la partie de notre corps que nous ne pouvions pas bouger. Et c’est à ce moment-là que je me suis levée. C’est alors que Dieu m’a guérie. C’est à ce moment-là que j’ai reçu ma guérison ».

Elizabeth J., Nigéria

J’ai traversé un enfer Paralysé et impuissant

Pendant 18 ans, Elizabeth J. avait souffert de douleurs atroces à l’abdomen. La douleur était si intense qu’elle restait alitée pendant des jours – parfois des semaines à la fois. En 1998, elle fut hospitalisée pendant deux semaines sans pouvoir manger quoi que ce soit. Sa famille était certaine qu’elle allait mourir. En désespoir de cause, Elizabeth et son mari dépensèrent tout leur argent pour des consultations avec des prêtres vaudou, des médecins et des hôpitaux.

Un jour, à l’hôpital encore une fois, ils entendirent les sons de la campagne CfaN à proximité où l’évangéliste Reinhard Bonnke prêchait. Ils décidèrent d’aller voir ce qui se passait. Elizabeth le raconte dans ses propres mots …

« En arrivant là-bas, le prédicateur disait : ‘Jésus vous aime et Il est mort pour vos péchés’. Je me dis : ‘Waouh !’ Et quelque chose me toucha à l’intérieur. Je dis : ‘Vais-je être pardonnée de mon parcours jusqu’à maintenant et de tous les péchés que j’ai commis ?’ »

Elizabeth était captivée par le message et en l’écoutant, elle savait ce qu’elle devait faire.

« J’ai ressenti que ce message m’était spécialement destiné et j’ai levé mes mains en disant : ‘Dieu’ ? Puis, je me suis agenouillée et j’ai dit :‘Jésus, me voici. Je suis ici. Sauve-moi, sauve-moi !’ Puis le prédicateur demanda à ceux qui voulaient naitre de nouveau de s’avancer devant la plateforme. J’étais la première là-bas. J’ai couru, j’ai couru pour m’emparer de mon salut. J’ai couru ! ».

Lors de la seconde soirée de la campagne, Elizabeth se sentit poussée à aller de nouveau vers la plateforme. Cette fois-ci, elle se réjouit, dansa et re-dansa devant le Seigneur, le louant pour le salut qu’elle venait de trouver.

« Tu m’as accepté, Dieu ! » s’écria-t-elle. « Aujourd’hui je te demande de me guérir ». Mais alors que la prédication commença, une douleur terrible s’empara d’elle de façon vicieuse.

« La douleur commença faiblement puis prit de l’envergure petit à petit. Mais à mesure qu’elle augmentait, j’ai hurlé : ‘Diable, tu es un menteur ! Tu es en retard parce que j’appartiens à Christ maintenant !’. Puis le prédicateur dit de poser nos mains là où nous avions des douleurs. Et loué soit Dieu ! La douleur s’arrêta immédiatement et à ce moment-là, j’ai eu ma guérison ».

Coulibaly, Côte d’Ivoire

Paralysé et impuissant – jusqu’à ce que Dieu le sorte de là

Coulibaly était le chef et le principal soutien de toute sa famille élargie, alors quand une maladie grave et une paralysie survinrent soudainement sur lui, ce fut un désastre pour eux et pour lui.

« Je me souviens m’être réveillé le matin, et mon corps tremblait. J’essayai de me lever et je suis tombé. Il n’y avait eu aucun signe et symptôme avant ceci. Cela s’était produit de façon inattendue. On me dit que j’avais une insuffisance rénale. Après quelques années sous médicaments, j’ai commencé à aller mieux – puis tout à coup, je suis devenu complètement aveugle pendant trois semaines. Ma sœur et une amie m’aidaient dans les tâches quotidiennes. Je priais Dieu chaque jour de me guérir afin que je puisse nourrir et subvenir aux besoins de ma famille. Certains jours, je me sentais comme un échec.

J’étais alité à l’hôpital quand une infirmière me donna un prospectus pour la campagne d’évangélisation CfaN. Le jour suivant, de retour à la maison, ma fille m’en donna un autre. Et ce même jour, ma sœur m’en donna un également. Je savais que c’était l’invitation de Dieu à recevoir ma guérison ».

La famille de Coulibaly l’aida à se rendre sur le terrain de la campagne et s’assit avec lui à même le sol.

« Je me rappelle que dès que l’évangéliste a dit : ‘Amen’, j’ai senti toute la douleur me quitter et un vent impétueux a traversé mon corps ».

Sur la scène, la sœur de Coulibaly qui s’était occupée si longtemps de lui, était là pour témoigner à ses côtés. Le visage radieux, elle confirma comment il avait souffert d’une insuffisance rénale et de paralysie pendant sept années terribles.

Coulibaly dit à la foule : « Pendant que j’étais assis là, j’ai élevé ma main. Elle tremblait et je ne comprenais pas ce qui se passait. Je suis tombé à la renverse et j’ai entendu : ‘Amen !’ Puis le prédicateur a dit : « Faites quelque chose que vous ne pouviez pas faire avant’. J’ai essayé de lever un pied, et il était si léger. Ainsi que l’autre également. Alors je me suis levé ! ».

Devant une foule en extase, Coulibaly montra comment il pouvait marcher librement et sans aide pour la première fois depuis sept ans ; sa sœur à côté de lui, riait et louait Dieu.

C’est la puissance de l’Évangile !

Mes chers amis, c’est de cela que parle l’Évangile – comment Jésus nous trouve là où nous sommes, au milieu des circonstances de nos vies et Il transforme toute chose. J’attends avec impatience ce jour où nous serons au ciel et où nous entendrons tous les témoignages joyeux de Sa grâce salvatrice et guérissante. Imaginez les histoires que nous nous raconterons les uns les autres dans Sa présence ce jour-là !

Pour chacune de ces personnes, la vie ne sera plus jamais la même. Leurs familles, leurs amis et leurs collègues ont été confrontés avec la puissance de Dieu. Et nous aussi, nous sommes témoins de Sa gloire lorsque nous lisons et partageons ces histoires puissantes.

Merci de nous envoyer dans les nations pour amener la puissance de l’Évangile à des millions de personnes – chacun d’eux étant la prunelle de Ses yeux.

Bien à vous dans la moisson,

Daniel Kolenda, évangéliste