Because He lives! – It is Easter by Daniel Kolenda

Pâques

Parce qu’Il vit !

C’est bientôt Pâques, cette fête merveilleuse où nous célébrons l’événement qui a changé le cours de l’histoire – la résurrection de notre Seigneur Jésus. Nous nous réjouissons du fait que non seulement Il est la vie, mais qu’Il apporte aussi la vie !

Nous sommes tous confrontés à la mort ici sur terre

Nous ne sommes que des humains, et nous serons tous à un moment ou à un autre, confrontés à la mort. Il ne s’agit peut-être pas de la mort d’un être cher, mais de la mort d’un rêve, d’un espoir, d’un amour. Tout ce qui nous est cher ou précieux peut s’évanouir en un clin d’œil et nous laisser dans la douleur d’une perte. Luc 7:11-17 relate l’histoire d’un tel événement.

Capernaüm et le ministère qu’Il y avait exercé étaient derrière Jésus, et Il devait déjà être vraiment fatigué lorsqu’Il se mit en route pour la petite ville suivante. Les foules n’abandonnaient pas facilement, désireuses de voir quels autres miracles Il pourrait faire, et ne lui laissèrent pas de répit, mais Le suivirent derrière les disciples.

Un bruit de pleurs et de lamentations

Alors qu’Il s’approchait des portes de Naïn, le bruit des pleurs et des lamentations emplit l’air. Un cortège funèbre, conduit par une mère au cœur brisé, se dirigeait vers le lieu de sépulture. Son fils unique reposait dans ce cercueil et elle pleurait dans un désespoir absolu face au sombre avenir qui l’attendait. Je doute qu’elle ait même vu Jésus. En tout cas, il est clair qu’elle ne L’a jamais appelé à l’aide. On ne nous dit pas depuis combien de temps elle était veuve, mais son fils était tout ce qu’elle avait pour prendre soin d’elle dans sa vieillesse. Elle était impuissante et sans espoir jusqu’à ce que Celui qui allait Lui-même affronter la mort sur la Croix la rencontre devant cette porte ! La Bible dit que lorsque Jésus vit ses larmes, Il fut ému de compassion.

« Je te le dis, lève-toi ! »

« Il lui dit : ‘Ne pleure pas !’. Il s’approcha, et toucha le cercueil. Ceux qui le portaient s’arrêtèrent. Il dit : ‘Jeune homme, je te le dis, lève-toi !’. Et le mort s’assit, et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère ». (Luc 7:14,15)

Ce qui se passa ensuite ne demande pas beaucoup d’imagination – en un instant, le deuil se transforma en allégresse et en danse ! « Ô mort, où est ta victoire ? Ô mort, où est ton aiguillon ? » (1 Corinthiens 15:55).

« Il n’est pas là ! »

Les Évangiles contiennent de nombreux récits de résurrection de morts et assurément, chaque fois, cela a provoqué une explosion de joie et un nouvel espoir pour l’avenir. Mais rien n’est comparable à la magnificence de Sa résurrection de Sa propre mort. Comme les deux Marie, nous avons regardé dans cette tombe et nous avons entendu les paroles de l’ange :

« Pour vous, ne craignez pas ; car je sais que vous cherchez Jésus qui a été crucifié. Il n’est point ici ; il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez, voyez le lieu où il était couché, et allez promptement dire à ses disciples qu’il est ressuscité des morts. Et voici, il vous précède en Galilée : c’est là que vous le verrez. Voici, je vous l’ai dit ».
(Matthieu 28:5-7)

Je suis prêt à parier qu’elles n’ont pas seulement couru, mais qu’elles ont sauté et dansé de joie en se dépêchant de partager cette merveilleuse nouvelle !

Du deuil à l’allégresse

Parce qu’Il vit, nous vivrons aussi, non seulement dans l’éternité, mais dès maintenant. Il insuffle Sa vie victorieuse dans nos vies alors que nous sommes morts dans les offenses et le péché, et Il nous restitue ce qui a été volé et détruit par l’ennemi de nos âmes. En fait, Il nous a promis non seulement la vie, mais la vie en abondance. Jésus a changé pour toujours notre deuil en allégresse !

Ensemble avec vous pour l’Évangile,

Daniel Kolenda, évangéliste